Au rythme des corps qui marchent sous le soleil, l’île est restée imperméable au cynisme, ouverte aux rencontres, absorbée par la danse de la nature.
Le film raconte la renaissance de Cuba où, durant de nombreuses années, les habitants ont été empêchés de faire, de penser, de circuler. Alors ils se sont retranchés sur la seule chose qu’ils maîtrisaient : le « au jour le jour ». Ne pas calculer, ne pas intellectualiser, suivre la courbe du soleil, son sentiment, son ressenti...